Page:Vasson - Le Cri du néant.djvu/34

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Dans les rameaux mouvants pareils à des mâtures,
Endormez-vous, coureurs des folles aventures,
Veillés par les yeux d’or des étoiles en feu.

Et, sans que nul émoi hante vos frêles sommes,
Savourez longuement la grande paix de Dieu
Que troublera demain la cruauté des hommes !