Page:Vaucaire - Arc-en-ciel, 1885.djvu/61

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Celles dont j’ai baisé les yeux
Avec mes lèvres d’ardeur folles,
Et que mes regards soucieux
Illuminèrent d’auréoles.

Puis ceux qui surent mes pensers,
Mes amis chéris et sincères
Sans me dire adieu sont passés,
Ils n’avaient pas vidé leurs verres.