Près de la lampe douce et rose, Le long piano se repose, Vibrant d’une valse, d’un air De Chopin, de Schümann, d’Heller. Et nous laissons aller nos rêves Dans cette exquise intimité Où les heures se passent brèves Comme de belles nuits d’été.
Fatigué de sa vocalise Il sommeille le jeune oiseau Que le clair de lune hypnotise ; Et nous, après l’Intermezzo