« Je veux tout faire par amour. »
« Voilà sept résolutions. Je les confie de tout mon cœur à ma bonne Mère. Car, de moi-même, je ne pourrai pas les tenir. Mais, avec son secours, j’y parviendrai certainement.
« Il faut que je sois un saint !… Ô ma Mère ! Il le faut absolument. Avez-vous entendu ? Il le faut. Aidez-moi donc et donnez-moi la persévérance.
« Merci, mon Jésus, de toutes les grâces que vous m’avez accordées pendant cette retraite. Elle fera date dans ma vie.
« Vous m’avez fait éprouver la consolation la plus douce et la désolation la plus amère, autant du moins que je puis en juger.
« Que votre saint Nom en soit béni et que votre Sacré Cœur en soit glorifié !
« Vive le Sacré Cœur de Jésus !
« Vive Notre-Dame du Sacré-Cœur !
« Vive saint Tharcisius ! »
Au bas de ces pages, le Père-Maître a écrit de sa main :
« Qui se humiliât, exaltabitur : Qui s’humilie, sera exalté. »
Comment Henry Verjus a été fidèle à ses résolutions, les quinze années qui lui restent à vivre vont nous l’apprendre.