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EN CORÉE

Je ne signalerai qu’une clause, qui me paraît la plus importante et qui est due à l’initiative de M. Cogordan, ministre plénipotentiaire, chargé de conclure le traité avec la Corée.

Cette clause décrète que la France aura le droit d’envoyer dans la péninsule orientale des lettrés de sa nation pour y enseigner les arts, les sciences, la littérature et les doctrines qu’elle professe.

De l’acceptation de ce traité, il est résulte que tous les Français, missionnaires, fonctionnaires ou autres, établis en Corée, y ont acquis une auréole de supériorité et d’éclectisme qui leur a ouvert toutes les portes.


FIN