Page:Verhaeren - Les Ailes rouges de la guerre, 1916.djvu/81

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Il sentait leur ardeur vivante s’amasser
Dans la pierre fendue et le sol convulsé
Et son âme comprit que leur sourde puissance
Était le gage désormais,
Jusqu’aux jours fermes de la paix,
Des invincibles résistances.