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LE JARDINIER
Que n’ai-je ta puissance en consultant la nuit
Par ma fenêtre, à l’heure où mon lit me réclame !
LE BERGER
Aimez votre foyer et soignez-en les flammes,
Et cultivez vos fleurs en leurs pots arrondis :
Votre esprit n’est point fait pour percer le mystère
Dont le ciel suspend l’ombre ou le feu sur la terre ;
Le marais fume au loin et le temps va changer.
Adieu, probe et doux jardinier.
LE JARDINIER
Adieu, probe et doux jardinier.