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Je ne détaille pas, ni quels nous sommes

L’un pour l’autre, ni les pourquois, ni les raisons :
Tout doute est mort, en ce jardin de floraisons
Qui s’ouvre en nous et hors de nous, si loin des hommes.

Je ne raisonne pas, et ne veux pas savoir,
Et rien ne troublera ce qui n’est que mystère
Et qu’élans doux et que ferveur involontaire

Et que tranquille essor vers nos parvis d’espoir.