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Celle dont on enjolive les attitudes ;

Ton front si clair et pur et blanc de certitude,
Tes douces mains d’enfant en paix sur tes genoux,
Tes seins se soulevant au rythme de ton pouls
Qui bat comme ton cœur immense et ingénu,
Oh ! comme tout, hormis cela et ta prière,
Oh ! comme tout est pauvre et vain, hors la lumière

Qui me regarde et qui m’accueille en tes yeux nus.