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souvenirs

mais, mais… » sans compter les grotesqueries de costume, les disparates d’uniformes, et les commandements à rebours et les manœuvres à l’envers de cette garde nationale à peine dégrossie de l’atelier et du troquet. Et quelle emphase, du reste gentille au fond, dans le langage de ces braves gens imbus de leurs bêtes et méchants journaux mal digérés en eux !

La nuit tombe sur la ville haletante. On entend des crosses de fusil tombant sur le pavé… Parisiens, donrmez !