réhabilitation qui n’a rien à voir ni avec la vie très honorable ni avec l’œuvre très intéressante, faire s’ouvrir le volume par une pièce intitulée Étrennes des Orphelins, laquelle assez longue pièce, dans le goût un peu Guiraud avec déjà des beautés tout autres. Ceci qui vaut du Desbordes-Valmore :
Cela :
qui est d’un net et d’un vrai, quant à ce qui
concerne un beau jour de premier janvier !
Surtout une facture solide, même un peu trop,
qui dit l’extrême jeunesse de l’auteur quand il
s’en servit d’après la formule parnassienne exagérée.
On a cru aussi devoir intercaler de gré ou de force un trop long poème : Le Forgeron, daté (!) des Tuileries, vers le 10 août 1792, où vraiment c’estpartrop démoc-soc, par trop démodé, même en 1870, où ce fut écrit ; mais l’auteur, direz-vous, était si, si jeune ! mais, répondrais-je, était-ce une raison pour publier cette chose faite à coups de « mauvaises lectures » dans des manuels surannés ou de trop moisis historiens ? Je