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critique et conférences

songère par les événements eux-mêmes, et quels !

Mais au philosophe, à l’artiste comme à l’industriel, il n’est que juste de dire qu’elles offrent un champ nouveau d’observation, et de précieuses occasions, en même temps que d’agrandir leurs connaissances, — et qui n’en a besoin, même ou plutôt surtout, parmi ceux qui ont le plus d’acquis et sont le mieux doués ? — d’améliorer leurs méthodes, de régler l’orientation de leurs études et de leurs travaux.

Ainsi Roger Marx, le lîn et subtil critique que des ouvrages suggestifs (tels son Henri Regnault, son Cherét, telles ses études sur l’Estampe originale et la Gravure en médailles), et tant d’articles du Voltaire faisant autorité ont placé si haut dans l’élite, a profité de la splendide occasion offerte pour, dans une conférence donnée au Congrès de la Société centrale des architectes français, et tout récemment éditée en un séduisant volume, glorifier l’activité humaine déployée en ces circonstances périodiques, et se féliciter tout particulièrement pour notre pays des progrès accomplis depuis 1878 dans la décoration et l’art industriel.

Et tout d’abord, en des pages éloquentes, d’une élégante et captivante précision, il rend hommage à la forme, pour ainsi parler, donnée