Page:Vermorel - Le Parti socialiste.djvu/307

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et sociales radicales, une satisfaction légitime aux intérêts des travailleurs, si gravement compromis, et résoudre le problème de la liberté, en lui donnant la justice pour base, et le bien-être universel pour couronnement.

Le gouvernement et les partis s’agitent ; mais la politique a fait son temps, et c’est toujours au socialisme qu’il faudra tôt ou tard en arriver, car c’est au peuple que désormais appartient le dernier mot.


Paris, 16 avril 1870.

FIN