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Page:Verne - Bourses de voyage, Hetzel, 1904, tome 2.djvu/306

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ils se fussent jetés à la mer sous l’empire d’effroyables hallucinations…

Enfin le jour parut, et, pour quelques-uns, ne serait-ce pas celui qui terminerait leurs souffrances ?…

Soudain un cri se fit entendre, — un cri qui échappait des lèvres de Louis Clodion :

« Navire ! »