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La malheureuse Zinca tombe sur une chaise, et — pour employer la phraséologie imagée des Célestes — « ses larmes coulent comme la pluie par une nuit d’automne ». Jamais je n’ai rien vu de si lamentable ! Mais il ne faut pas la laisser en cet état, la pauvre fille !… Elle va perdre connaissance… Je ne sais où j’en suis… Je lui prends les mains… Je répète :
« Mademoiselle Zinca… mademoiselle Zinca… »