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Page:Verne - Deux Ans de vacances, Hetzel, 1909.djvu/418

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deux ans de vacances.

Tous deux glissaient entre les hautes herbes. (Page 395.)


attendre l’heure du repos, après avoir fait la prière en commun et donné un souvenir aux familles de là-bas.

Vers neuf heures et demie, l’orage était dans toute sa force. Le hall s’illuminait de l’intense réverbération des éclairs, qui pénétrait à travers les embrasures. Les détonations de la foudre se propageaient sans discontinuer ; il semblait que le massif d’Auckland-hill tremblait en répercutant ces étourdissants fracas. C’était un de