Page:Verne - Kéraban-le-Têtu, Hetzel, 1883, tome 2.djvu/141

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

129
KÉRABAN-LE-TÊTU.

— Mais comment disparaître sans être vu de ces gens-là ? demanda Saffar.

— Par ici ! » répondit Scarpante, en ouvrant une porte, percée dans le mur de gauche, et qui donnait accès sur la campagne.

Le seigneur Saffar et le capitaine maltais sortirent aussitôt.

« Il était temps ! se dit Scarpante. Et maintenant, ayons l’œil et l’oreille ouverts ! »