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en fuite.

Ce n’était point un lion, mais une antilope… (Page 208.)

mais les oiseaux eux-mêmes ne les traversaient point à tire-d’aile. Et pourquoi l’eussent-ils fait ? puisque les diverses oasis de l’Hinguiz leur procuraient des ressources que n’aurait pas fournies l’aride surface du chott ?

D’ailleurs, à cette observation que fit le capitaine Hardigan :

« Ils en deviendront les hôtes habituels, répondit l’ingénieur : oiseaux de mer, du moins, goélands, mouettes, frégates, alcyons,