Page:Verne - L’Invasion de la mer.djvu/235

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
213
le tell.

M. François s’enliza jusqu’à mi-corps. (Page 217.)

les suivre pour ne point s’écarter des passes bien connues des indigènes jusqu’à l’oasis de Goléah, vers laquelle vraisemblablement se dirigeait le chef targui. Mais ce fut en vain que M. de Schaller rechercha ces vestiges, et il fallut en conclure que la bande n’avait pas longé jusqu’à son extrême pointe les bords de l’Hinguiz.

Pendant le cheminement, le capitaine et l’ingénieur se tenaient