représenter le d de Dacosta, puisqu’il en était séparé également par douze lettres.
Donc, ce nom ne figurait pas à cette place.
Même observation pour les mots arroyal et Tijuco, qui furent successivement essayés, et dont la construction ne correspondait pas davantage à la série des lettres cryptographiques.
Après ce travail, le juge Jarriquez, la tête brisée, se leva, arpenta son cabinet, prit l’air à la fenêtre, poussa une sorte de rugissement dont le bruit fit partir toute une volée d’oiseaux-mouches qui bourdonnaient dans le feuillage d’un mimosa, et il revint au document.
Il le prit, il le tourna et le retourna.
« Le coquin ! le gueux ! grommelait le juge Jarriquez. Il finira par me rendre fou ! Mais, halte-là ! Du calme ! Ne perdons pas l’esprit ! Ce n’est pas le moment ! »
Puis, après avoir été se rafraîchir la tête dans une bonne ablution d’eau froide :
« Essayons autre chose, dit-il, et, puisque je ne puis déduire un nombre de l’arrangement de ces damnées lettres, voyons quel nombre a bien pu choisir l’auteur de ce document, en admettant qu’il soit aussi l’auteur du crime de Tijuco ! »
C’était une autre méthode de déductions, dans