Page:Verne - Le Chemin de France, Hetzel, 1887.djvu/126

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De temps à autre, je descendais de mon siège. (Page 119.)


Thürienger-Walks. Il eût été très imprudent de s’y aventurer pendant la nuit.

En cet endroit, pas d’auberge, pas même une cabane de bûcherons. Il fallait coucher dans la berline ou sous les premiers arbres de la forêt.

On soupa avec les provisions emportées dans les coffres. J’avais dételé les chevaux. Comme l’herbe était abondante au pied de la