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Page:Verne - Le Superbe Orénoque, Hetzel, 1898.djvu/89

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D’ÎLES EN ÎLES
« Mauvais temps ! » dit le sergent.


Le jeune garçon, quittant le rouf, se plaça sur l’avant de l’embarcation, dont la voile gonflée s’arrondissait derrière lui. L’atmosphère, très pure, laissait apercevoir les lointains horizons des llanos.

Alors le sergent Martial d’ajouter :

« Est-ce que, par hasard, nous sommes revenus dans notre cher pays de Bretagne ?…