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Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/172

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Mais il ne peut pas en mourir !
Il brûle ; mais sans l’espérance
Quelque jour de ne plus souffrir !
Il doit aux cris de la chouette,
Le lendemain recommencer !...
Mes compagnons, courbez la tête ;
Le Simoun vient de passer.