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Page:Verne - Premier et second carnets de poèmes, 1847.djvu/190

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Je lui serais le plus pur des amants,
Si sa vertu ne se fût pas ternie !

Elle a rompu notre harmonie,
Pourtant je l’aime, hélas ! pour châtiments,
Prêt à toujours souffrir sa tyrannie,
Elle entendrait encore mes doux serments.

Envoi

Quoique pour moi ses affreux traitements,
Et le mépris d’un amour qu’elle nie,
Pour la haïr soient assez d’aliments,
Puis-je oublier qu’hélas ! pour Herminie,
J’eus de l’amour !