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Page:Verne - Voyages et aventures du capitaine Hatteras.djvu/406

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AVENTURES DU CAPITAINE HATTERAS

mise on avait le droit de se montrer difficile en fait de brouillards, mais je vois que je me suis trompé !

— Eh bien, répondit Bell, nous devrions allumer des torches comme à Londres ou à Liverpool !

— Pourquoi pas ? répliqua le docteur ; c’est une idée, cela ; on éclairerait peu la route, mais au moins on verrait le guide, et nous nous dirigerions plus directement.

— Mais, dit Bell, comment se procurer des torches ?

— Avec de l’étoupe imbibée d’esprit-de-vin et fixée au bout de nos bâtons.

— Bien trouvé, répondit Johnson, et ce ne sera pas long à établir. »