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Comment ai-je été sauvé, je n’en sais rien, mais toujours est-il que je ne puis pas voir un tir hydraulique et un œuf vide au bout du jet d’eau sans avoir un frisson et sans pleurer comme un enfant.

— Bravo, Fimbel, s’écria l’assemblée et maintenant, pour finir, la parole est à Fougasse, ancien propriétaire, directeur des chevaux de bois à Sidi-Bel-Abbès, fit le président en me le présentant et, en attendant, à la santé de notre dernier conteur !

— Hurrah !