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Quoi qu’il en soit, voilà où en est mon invention et je déclare que j’en suis fier.

Dès maintenant, je puis tenir des parafoudres à la disposition de mes lecteurs au prix de dix francs et de douze francs trente-cinq centimes, quand ils sont nickelés ; deux francs de plus pour les quadrupèdes, à cause de la longueur de la tige, comme je l’ai expliqué plus haut.

Enfin je tiens également des parafoudres, pour les poules, au modeste prix de un franc quatre-vingt-quinze centimes.

Je n’en vends pas pour les canards, toujours dans l’eau, le meilleur des préservatifs !

Et maintenant, qu’on se le dise ; en avant la musique !