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indulgent que bénévole à se prononcer sur le sort de ce volume et sur les subséquents ; s’il lui réserve bon accueil, je le préviens charitablement qu’il y en a quatre tout prêts, parallèles et équipollents, comme dirait l’aimable colonel, sans préjudice de la suite à venir.

Si donc, ces histoires vous amusent, comme dit la chanson, nous pourrons les recommencer… pardon, les continuer, ce qui vous prouve bien que leur sort et le mien dépendent de votre arrêt et, pour une fois, chers lecteurs, il m’est doux de penser que vous voudrez vous montrer pitoyable pour un pauvre diable de philosophe — le dernier sans doute, suivant la formule officielle, s’il est parvenu à en conserver le secret — et surtout toujours plein de bonne volonté !


Paul VIBERT.