Page:Vicaire - Au pays des ajoncs, 1901.djvu/120

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Mais voici que s’élève un bruit de pugilat :
— Innocent, innocent ! l’enfant qui vient de naître !
— Lui ! Comment osez-vous me parler de ce traître ?
— Un martyr ! — Un gredin ! — Un saint ! — Un scélérat !

Le débat semble clos et crac ! il recommence :
Les oiseaux cependant volent effarouchés.
Et, sur le sable d’or, au milieu des rochers,
Dans l’azur infini rêve la mer immense.