Aller au contenu

Page:Vidocq - Les Voleurs - Tome 2.djvu/119

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

SUC H5

et qu’on ne croie pas que ce que je vais dire soit une de ces phrases de prospectus dont la banalité ne trompe plus personne ; l’intérêt n’a pas été le moteur créateur de cette entreprise, j’ai cédé aux instances des plus recommandables philanthropes qui ont bien voulu m’honorer, m’aider de leurs conseils, et m’engager à ne point abandonner une entreprise · dont je ne cherche pas à me dissimuler les écueils, et qui d’abord m’s »vsit paru une utopie irréalisable.

Je n’ai pas non plus commencé à agir sans m’être entouré de toutes les lumières qu’il était possible de recueillir ; j’ai pris les avis des personnages haut placés qui se sont spécialement ° occupés de la matière ; j’ai consulté d’anciens et loyaux domestiques : l’approbation des uns et des autres a été une récompense prématurée dont jesaurai, je Pcspére, me montrer toujours digne. I

Sans pourtant négligertesanclens domestiques, je m’occuperai plus spécialement des hommes nouveaux qui débuteront dans la capitale, car souvent les premiers pas d’un homme déddentde sa vie toute entière. Une correspondance seraétublie avec MH. les maires de