Page:Vidocq - Mémoires - Tome 3.djvu/206

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au ninonu · ’ ’, » Mais soyons honnêtes, c’est le principal, avec ça on peut toujours aller tête levée.... Que ce qui n’est pas ànous, ne nous tente pas. ’ En tous cas, je peux mourir quand je voudrai, •> on ne me reprochera pas la tête d’un épingle. Ah ça, qu’est-ce qui vous amène donc à cette heure, mes enfants’ ? ’c’est pas pour mes fem’ » mes ? elles sont toutes tranquilles ; vous en avez un échantillon, montrant Filine, v’là la plus dérangée. Ah ! mais à propos, Jules, sa qu’as-tu donc fait de Mélie ? J — » Je te conterai ça plus tard, donne-nous de la chandelle. — » Je parie que c’est après Caffin que tu ’ » cherches. Bon débarras, je t’assure, un mangem- de blanc !(homme qui vit aux dépens Cl8S filles). ’ — » ’Un batteur de femmes l interrompit Fiüllc. — » On ne voit pas souvent de son argent, À celui-là, reprit la Bariole. Tiens, Jules, regarde un peu sur l’ardoise sa dépense et le gain de sa femme ; elle ne fait pas seulement assez pour lui. Que Paris- serait bien purgé, sion pouvait tous les enfoncer l » elle voulait ’me conduire à la chambre du. mangeur, mais