Page:Vidocq - Mémoires - Tome 3.djvu/207

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un VIDGOQ. not · comme je savais le chemin tout aussi bien quielle, je la remerciai de son obligeance : « La seconde porte, nous dit-elle, la clef est. dessus » ; je ne pouvais me tromper, j’entre, et je signifie à Caffin qu’il est mon pri-2 sonn ier. · — « Eh bien ! en bien ! qu’est-Z-ce qu’ilv a ? I » dit Caffin en s’éveil|ant 5 comment, Jules, c’est toi qui roi emballes P — » Que veux-tu, mon ami P je ne Suis pas sorcier, si Yon ne t’avait pas coque (dénoncé), je ne viendrais pas interrompre ton sommeil. ’— » Ah ! te voilà encore avec tes couleurs ; t’as 10rt, mon ~fils, c’est de la vieille amadou, . ça ne prend pas. J ’ — » Comme tu voudras, c’est ton affaire, mais si ce qu’on dit est vrai, ton compte est bon, t’ù·as au pré. ’ ’ — » Oui, crois ça et bois de l’eau, tu seras jamais saoul. — » Enfin, faut-il te mettre le nez dessus, · pour que tu dises c’en est ? Écoute, je n’ai pas n d’intêrêtà te ôattre comptoir. Je te le répète, >• je ne puis pas deviner, et si l’on ne m’avait ’ » pas dit °que vous avez grùzchi du gras-double (volé du plomb) sur le boulevard Saint-Mar-