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rendez-vous. Ty allai en effet ; mais, comme · on le pense bien, Tominot· ne vint pas. Nous attendîmes jusqu’à dix heures ; enfin Sophie, jouant Vimpatience’, s’informa près du garçon de cave, s’il n’ëtait pas venu un monsieur les demander.. ’
— » Celui avec qui vousavez déjeûné, ré- ’· pondit le garçon ? il est venu um peu avant la brune., il mia chargé de vous dire qu’il ne pourrait pas se trouver avec vous ce soir, mais que ce serait pour demain. » ’
Je ne doutai pas que le garçon ne fût un compëre à qui l’on avaitlfait la leçon, mais’je’feignis de ne point concevoir de soupçon, et me résignai à voir combien de temps ces dames ·me promèneraient. Pendant une semaine entière, elles me conduisirent tantôt dans un endroit, tantôt dans un autre ; nous devions toujours y trouver Tominot, et jamais nous ne le rencontrions. Enfin, le 6 janvier, elles me - jurent de l’amene1· ; je vais les attendre, mais elles reparaissent sans lui, et m’allèguent de si bonnes raisons qu’il m’est impossible de ·IIÉ8 fâcher ; je me montre au contraire très satisfait des démarcb es qu’elles ont faites, et pour leur témoigner combien je suis content d’el1es, j’offre