Page:Vidocq - Mémoires - Tome 3.djvu/247

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il veut profiter de la prétendue méprise ; si Sophie résiste, un son d’àrgent, produit des agitations de la lutte, peut trahir le but de sa visite..., · si elle cède, le péril est encore plus grand...... Que faire ? pour toute autre, la conjoncture serait des’plus embarrassantes ; Sophie n’est plus cruelle, mais à l’aide d’un mensonge, elle tourne la difficulté, et l’employé satisfait, lui permet d’eFfectuer sa retraite. Il ne perdit à ce jeu que ’ sa bourse, sa montre et six couverts. < Cette créature était une intrépide : deux ’fois elle donna tête baissée dans mes filets, mais après sa libération, en vain essayai - je de Pattiver dans le pi ége : il n’y avait plus de surveillance à laquelle, elle ne réussit à se soustraire, . tant elle était sur ses gardes. Cependant ce queje n’attendais plus de mes efforts pour la prendre en flagrant défit, je le dus à une circonstance tout-à·~·fàit fortuite.

Sorti de chez moi à la petite pointe du jour, je traversais la place du Châtelet, lorsque je men encontre face-à-face avec Sophie ·: elle nfaiborde avec aisance.- et Bonjour, Jules, où vasétu donc n simaitin 5*-je—·gage que tu vas enfoncer queln quevariiiî ’ ’. ’ · ·’ —’ ·

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