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Page:Vidocq - Mémoires - Tome 3.djvu/341

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9H YÃPPUT I il

cenclition qu’elle serait plus raisonnable Elle ’promîli ; mhis, dès le’l¢11¢l8m,3111, des rideaux de taffetas rert furent adaptés au grillage du cabinet, ’s où fétais relégué, depuis que madame avait ugé à propos de iniemployer exclusivement à la tenue de ses livres. Cette mesure était d’a utant plus i’ vexatoire, que désormais il n’y avait plus moyen d’avoir en perspective le personnel du magasin. Madame Duflos était par trop ingénieuse à m’i• soler du reste de la terre ; chaque jour c’était nouvelle précaution pour m’accaparer. Enûn p mon esclavage devint si rigoureux i, que tout le monde s’apercevait de la tendresse dont j’étais ’ ’l’obj et. ’Les demoiselles de boutique, qui étaient I bien aisé de mettre martel en tête à’la hour- · ’ geoise, venaient à chaque instant me parler’, tantôt sous un prétexte, tantôt sous un autre ; cette pauvre madame Duilos en était tourmentée c’était une pitié... A toute heure du jour, 3 il me fallait essuyer des reproches c’était des scènes à n’en plus finir. J e ne mé sentis pas la ’ force de rester plus long-temps soumis à un pareil régime. Afin d’éviter’un éclat qui, dans • ma position, aurait pu me compromettre (fétais alors évadé du bagne, je fis secrètement — ’ retenir ma place à la diligence, et je iilai. J’étais Tous m. 22