Page:Vidocq - Mémoires - Tome 3.djvu/342

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

loin de supposer à cette époque que vingt. ans plus tard, je reverrais dans les bureaux de la poliee, là petite bossue de la rue Saiut-Martin’ ; c’est le proverbe qui l’a voulu : Deux montagnes ne se rencontrent pas....... \ e