Page:Vidocq - Mémoires - Tome 3.djvu/379

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su il te saluerait d’une mure (·coup de poing sur le -n nez) que tu een verra is trente-six chandelles. ’ ’  » Monsieur a raison, observait en me res gardant un gros bourgeois à lunettes, qui ’au était mon plus proche voisin, c’est un être bien extraordinaire que ce Vidocq ; on prétend que quand il veut arrêter quelqu’un, il a un coup à lui qui le rend tout de suite maître de nx son homme. · ·,

-Q-· :1 Je me suis laissé dire, c’était un charre-I. ’ ’ sa tier qui prenait la parole ’, qu’il a toujours aux r « ai pieds des souliers avec des caôoches (gros clous), et qu’en vous donnant une poignée de main, il vous lève sur l’os de la jambe une targ- p ’os tine de longueur. ·

- » Faites donc attention où vous marchez, ’ gros butor, s’écriait une jeune fille, dont le charretiefvenait maladroitement d’éoraser les cors. ’ · ·

— » ça vous fait ouir la belle enfant, ripos-· tait le rustre, ce n’est rien ; vous en verrez on bien ·d’autres avantque de mourir ; si Vidocq avec le talon de sa botte vous écrasait-le gros e » arpion (gros orteil)...... t e u · —«n Vraimentl qu’il y vienne donc ! — » Il serait gêné ; c’est encore un cadet. s