Page:Vidocq - Mémoires - Tome 3.djvu/380

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au · ’ninoxnni · A ce moment, pris part à la conversation Mademoiselle, - dis-j/e au charretier, a de trop jolis yeux pour que Vidocq, tant’méchant soit-il, veuille lui faire du mal. -· » Oh ! on.n’ignpre pas qu’il ’11’BSl2 pas si rude avec les femmes. D’abord c’est un ga illard qu’on dit qu’il lui en faut. Oui, il lui en faut, et qu’il est fameusement porté là-dessus. ne Mais ce n’est pas tout ça : j’en voulais venir ’n que quand on écrase le gros arpion à un parti-I » culier, tant fort soit«-il, il n’y’apas de milieu, il faut qu’il descende, et si’on ne le ramasse pas, 1l reste sur la place. » Il se lit alors un brouhaha. — Ah ! ah ! ah ! Qu’est-ce quîil y à P — » A bas le chapeau ! · ’ — » Eh ! l’homme °à la perruque ! — » C’est«-il les assassins ? e — » Le voilà ! le voilà ! — » Etqui donc ? v - » Ne poussez donc pas tant. ’ - » Polisson, voulez —vous finir avec vos mains ? ’ — » Donnez-lui un soufflet. — » Comme les femmes sont imprudentes, se ’ » risquer dans un état pareil- !