Page:Vidocq - Mémoires - Tome 3.djvu/421

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un vinocç. · $17 lhonn.. » Et par dessus le marché venir, encore nous voir faire la culbute !, ’ M01 (leur offrant du tabac, dans l’espoir de changer la conversation). » Allons : une ai prise, c’est du bon. RAoUL’.(aspirant avec force). » Pas man- (c vais ! (il éternue à plusieurs reprises) c’est un billet de sortie, n’est-ce pas, monsieur 5 Jam. ? ~ r M01. » Cela se dit. ·, RA.oUL. » Je suis pourtant bien malade. » (Dans ce moment, il prend ma boîte, et après r l’avoir ouverte pour en faire les honneurs, il l’examine. « Elle est belle, la foryîère (taba—· u tière) ! Dis donc, Court, sais-tu ce que c’est que ça ? Comrr (détournant la vue), . C’est de l’or. RAUUL. » Tu as bien raison de regarder de l’autre côté ; l’or, c’est la perdition des hommes. Tu vois où ça nous a conduits. Conrzr. » Dire que pour une saloperie pareille, on se fait arriver tant de peine ! N’au.. ’ >• rait-il pas mieux valu- travailler ? Tu avais des parents honnétesg, moi aussi. au jour d’aujourd’hui, nous ne ferions pas déshonneur à nos familles. ’ ; ’ TOME m. 27