Page:Vidocq - Mémoires - Tome 3.djvu/422

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416 uànoznns RAOUL. » (lh ! ce n’est pas là mon plus grand regret. Ce sont les messières que nous avons esparpés..... ·les malheureux ! COURTg(I’€mI)P3SS3DÈ). » ’Tu fais bien de te ’ » repentir. Celui qui donne la mort à ses semblables n’est pas fait pour vivre : Cîest un monstre ! LE Conrnsssnn ne Couirr. » Allons, mes- enrx fants, le temps s’écoule. Raptm. » Ils ontbeau dire, le M eg des Megs (l’Etre suprême), s’il y en a un, ne nous par donnera jamais. Le Couresssuni un Couirr. » La miséricorde de Dieu est inépuisable..... Jésus-Christ, ’ [ ’ » mourant sur la croix, a intercêdé auprès de son père pour le bon larron. ’. Coursr. » Puisse-t-il intercéder ·pour nous ! E L’uN nes Couressnuns. » Élevez votre ame à I » Dieu, mes enfants, prosternez-vous et priez. » W Les deux patients me regardent comme pour me consulter sur ce qu’ils doivent faire ; ils semblent craindre que je ne les accuse de Iai’blesse. I \ MOI. - » Il n’y a pas de honte. RAOUL (à son camarade  » Mon ami, re’ix commandons-nous. »