Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/106

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et uinornu

à une table, une femme qui était en train de sous per : c’était Annette ; je la regarde avec une sorte de curiosité, elle fait de même ; je demande à Henriette si elle connaît la personne qui nous examine si attentivement : « Je ne le présume n pas, répond ?-elle. ·

— » C’est donc à moi qu’elle en a ; fai quelque idée de l’avoir vue, je ne saurais dire où. » Min de m’éclaircir j’aborde l’étranghre : « Parv don, madame, je crois avoir le plaisir de vous zx connaître. ’

1-.- · » Ma fbi, monsieur, je cherchaisutout à ’l’heure dans ma Voilà, disalkjç on moi-même., une figure que vuequselque ». part. Avez-vous habité Rouen ?. · — » Dieu ! H1’écriai·—je, c’est vous, Joséphine, »·— et votre homme ? ce cher’Romain. ? · ’ · ’

-· » Hélas ! me dit4°olle » en saitglûttant, il est

usmaladç à Capelle (il. est arrêté à Caen)., i, ····· » y a-t-ililong-temps ?.. ° ’ -·— » Trois nzarques (trois mois) ; ·j’ai bien gr ; peux ; qu’il ne.a’en relève pas clçà sitôt, Ja une jièwe chaude (il estjiortement compromis) ; », et vous Pi ll paraît que vops é’tes guéri (que ’vous êtes libre) ?..., D ’ ’

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