Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/108

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ago uizuoznns »,

il serait dix fois plus beau. C°est mon pauvre ’ » lapin : voilà pourtantldix ans que nous sommes ensemble, croigiez-vous que nous n’a ». vous jamais eu le moindre mot P. »

Annette se prêtait admirablement à. cette comédie. Chaque soir, elle était exacte au rendez »• voue, et nous soupions en commun. Enfin vient le moment d’accomplir le vol à l’exécution dud’quel je-dois concourir. Tout lest disposé., Mara ’tinot et ses amissout : prêts : c’est «la chambre d’un prêteur dîargent à la petite semaine, que · ’l’on a projeté ·de dévaliser ; on.m’a indiqué sa demeure, c’e-st rue Montergueil ; je sais àquelle ’heure on. s’ »int1°oduira=. le donne à :Annette les instructions néC<îSSüires, po1tr qulelle puisse avere tir, la police-, et afin d’être sur qu’on ne fera rien sans moi, je ne quitte plus ni mes amis, nima chère Henriette., ’ ·, . ·.

’ Nous. partons pour l’expédition Martinet monte 2 louvre là p,01·te, et redescend.: «, Il n’y.a u plus qu’à entrer 5 » d.it-il, et tandis que je resteëavec luiyàzn faire leguet, ses compagnons courent butiner, pour notre compte et le leur, aux dépens de. •l’usurier.. Mais des agents les suivent de près ; je- les aperçois, et dans cet instant. je m’arrange· pour- donnexnà. Martino : ’