Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/109

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si’vusodçz, non ;.

une distraction qui lui fasse tourner la tête d’uu. autre côté. Les trois voleurs surpris pendantqu’ils’brisent les· meubles ; jettent ·un cri·, ’ets nous prenons la fuite ; Martinet ayant einpœtèj ’ les clefs, ses compagnons échappaient ainsi à là· peine des fers, car il était probable que, suivant ; leur coutume, ils allégueraient qu’ils- avaiimu trouvé la porte ouverte : il importait donc, noirs : seulement de faire arrêter Martinot nanti des clefs, mais encore dl établir ses relationsravec lei : coupables qu’on avait saisis. Ce fut surtoutponn parvenir ce résultat, qu’Annette me I futla plus grande utilité. Martinet fut enlevé avec toutes les pièces de conviction désirable :} sans qnfllenriette se doutât de rien ; seulement elle trouva que j’étais très heureux ; et ce-fut un titre de plus à son amour. Quand le sentiment’que je lui inspirais fut dans toute’sa force ; feus, pour le mettre à Yépreuve, une maladie de commande. Je nelpouvais recouvrer lafsamiié qu’én prenant des médicaments dont le prix ’ n’était pas en proportion avec nos ·facultésÃpécuniaires. Henriette voulutüabsolument me’les

procurer, et à cette intention ·ell-e prémédita un petit vol de chambre, ’ilont elle me 161 ; la confidence. Rosalie Dubustdievait lîassisterz