Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/119

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i Il II•••Q· Qns -. » Vaous avez bien raisonde l’appeler ad• ’ mirable ; mais ajoutez qu’on peut en composer un filtre des- plus puissants contre I » l’indifférence en matière de mariage.— » Vous ne plaisantez pas ? · -· » Non, madame, Dieu m’en garde ! lotion ’ » d’un côté, breuvage de l’autre, tout le secret est dans le mode de préparation et la manière des’en-servir... ’ — » Peu1 ;—ètre y aurait-il de l’indiscrétion à vous dema nde : votre recette ? —· » Du tout, madame, demandez, je me furai un plaisir de vous la communiquer. — » Ab ! enseigner.-·moi d’abord le nom de in cette sim ple intéressante ? ’ —·· » Le : nom, madame, o’est tout simplement la tome bonnes, que nous appelons aussi ’ xi la Ãbozme à tout. ’. -«-·· ». Marie, làbouneà tout, enœnds-tu P tu retiendras bien, la bonne à tout ; si nous conduisions monsieur au fond du parc, il me semble quezlà. il y ·en a beaucoup. —··· » Si oe-n ?était pas si loin, ·je vous mènemis bienzoà. il y en a davantage ; il y en a, b vx. il y en a ; ciest comme du chiendent, j’en ai rn à des fois nmassêtlot Eimeuses brassées, voyez