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Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/120

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un peu cej que ciest, quand on ne connaît u pas 1 c’¢st p’têtr.e ça que les lapins, .··.·Mais. monsieur ne voudra pas venir jusque«·làP — » Tirais au bout du monde, seulement je a crains d’abuscr de votre complaisance. - — ’ »i-pNc craignez pas, monsieur, ne craignez pas, j’en serai assez payée puisque. vous consentez..’ ·

L- Ah ! oui, c’est juste ; je n’y pensais pas. » Marie guide le. chercheur de- simples qui, chemin faisant, explique à madame comment se fonnlesinfusions, les décoctions, les applications, ; les lotions en la sublime essence matrimoniale : Enfin lion- arrive ; jamais le botaniste n’a vu, en si grande. quantité, la plante dont il vient de révéler les mérites ; il est transporté de joie, d’en-thog1siasme, de plaisir, etquand il s’est suffisamment extasié, il se met. en devoir- de. cueillir... Madame fait.aussi..ses..provisions, Marie en aura ; sa change, . ¢On-a hedhovrisé de si, bon cœur, xpfen moins de vingt minutes la pauvre fille ploie sous le fardeau, ·mais· elle ne s’en plaint pas ; elle se propose même d’y revenir, car Marie niapàs perdu un mot de la leçon pharmaceutique, ’et-elle• ·n’sst pas moins avide d’expériences que sa maîtresse ·:- trompée coup sur