Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/167

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n à V11100Q· us —· » Ah ça, avez-vous envie de vous faire coffrer P — » Non. Eh bien ! filez votre nœud, et plus vite que ça. · — »’ Ah ! par pitié, dit Adèle, · messieurs laissez-moi respirer. — » Tu respireras au violon. — » Je vous en supplie, ayez égard à ma faiblesse. — >> On connaît ces couleurs-là, ramasse tes bucoliques et pas tant de grimaces (s’adressant au public), elle n’en est pas à son apprentis- ’ >’· sage (à un pâtissier gras et dodu qui est au nombre des spectateurs), elle meurt de faim comme vous... ; c’est pour aller à la guinche que ç’a mendie. ’ — » O Dieu de Dieu, miséricorde ! — » C’est-il bientôt fait, tes jérémiades ? tu conteras ton conte là-bas, nous n’avons pas q-u’à toi à songer : dépêche-toi. » Elle tâche de se mettre sur ses pieds ; en proie à un étourdissement, elle retombe... ; « ah pour le coup, c’est sef..... de nous, » dit un des exempts en se jetant sur elle comme une bête féroce, « tu viendras ou tu diras pourquoi ; tu