Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/168

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no ntnoinis

viendras, coquine. » Dans la violence du mouvement il lui arrache son tablier, l’argent qu’il contient se disperse et roule dans la boue ; des enfants en rapportent quelques pièces, mais avant que la plus grande partie soit retrouvée, ’ vient à passer un îiacre ; sur l’inj onction qui lui ·est faite, il s’arrête ; Adèle, plus morte que vive, y est traînée immédiatement ; c’est un cadavre que des assassins, pour ensevelir leur forfait, se hàtent de confier au tombeau : — « Que voulez vous voir P disent - ils aux curieux, une femme qui est prise de ’ ’ » boisson.- ·· ·. .. ·

— » ’C’est affreux, c’est atroce, .·c’est une »··infamie ! » murmurent les témoins, ne, sont pas dupes d’une telle imposture ; la portière est fermée, le cocher est sur son siège : « au dépôt, à Iaprçfecture, si vous comprenez mieux, » et le carrosse roule...... ·