Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/171

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bi vxinooq. iti -·· » Ni moi non plus. ’ ’. -· »· » Eh ! mon ami, c’est elle ; j’ai aperçu une pièce de quarante sols.. —· » Tu ne te trompes pas ? ’ ’ ’ ’ ·— » Hun, puisque la tiens.. ’ —=. » GBSC b011 (levant le store) ; cocher, au corps-tlcî-garde ! in · i l A H On arrive : après avoir échangé quelques mots avec l’ofHcier. les monchàrâs prennent congé de lui en le laissant dans Yenchantement de leur procédé généreux. Adèle, que Pim a tirée de la ·vo’iture, est couchée sa un Branlcard auprès du p0êle.’ ’°: ’· l’H UN sEnGE1€·r.° ne Capitaine ; que’ferôns-Ãxîous de cette femme ? ’ ’ · L’Ol•’FlCIER. » Il n’y a’qu’à avertir le commissaire, car il n’y a pas d’apparence qu’elle en revrennef · Un SOLDAT. >i’Elle est pt’-être en lédiar’ie. È · Un sxcdma SOLDAT. » Il est bon’là, ’ ·M.’gel ormes, avec sa litharge, tu ne vois paslllatoùt qu’eileaà’la’£¢tè’ ?" °’ °’ " ’ LE CAPITLINEÉ Z ’El1é-est blessée ! nous au-1’îO11S’dû ilùùs à$$’Ifli’èI’F de lèest Élétuellement que jiy songe ; ils avaient des airs pençlables. ’ ’ ’ ’ ’ ’ ’ 1 1.