Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/172

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

np minous : ’ Pimunzn SOLDAT. « Matin, quelle entaille ! yi sergent, regardez donc, voilà le sang qui recommence., à couler. ·.. Ln snncnm. » Il est ma foi bien rouge.. Llorrrcxnn. » C’est qu’alors elle est. vivante, A ng -la chaleur aura rétabli la circulation : qu’est ; ce qui fume ici ? caporal, souftlez lui un peu de tabac dans nez. ra ciiromn. » n’aurait qu’à lui faire du mal. q, Ln CAPITAINE. » N’ayez pas peur. » LE caronar. Il si approche du brancard... gg lance une bouffée) : « Je dis qu’elle est fameuse. Im CAPI’I’AIl’iE t » :C·’est bien, c’est bien, ailez toujours : » ’ ·· q.I, e retour à la vie s’annonce par de légères contractions du visage, et par un mouvement convulsif deslmembres, Adèle se débat, ·tousse, et dîun sur saut elle est sur son seant. g üariuarunz bas au sergent, «  m’a semblé au voir un spectre. ’ E ’. É Ln snncnmr. » Elle a l’air d’une déterrée. Tmlliw ; si jelnietaisqpas ici ! je Ill’CB donnerais peur, je croirais que ç’est un re’ » venant. » r l ’Àdèle regarde autour d’elle, et après quelques ’