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Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/184

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ne niuolltt

si je. ne réussis pas, je n’aurai’du moins Fien à me reprocher.—

» Vous ne réussirez pas. Quand quelqu’un est dans le guignon, il a beau faire, il se noierait dans son crachat. C

-S » C’est égal, j’en aurai l’ame nette. » Adèle sort et~·se rend chezgle commissaire de bienfaisance. A l’aspect du banc fatal sur lequel elle Ht naguère une si triste station, elle frémit, hésite, peu s’en faut qu’elle’ne rétrograde. Cependant il n’est nas midi à on’ne peut- refuser de l’introduire. Elle s’arme de résolution etl franchit le seuil. « Cù allezg-vous ? » lui crie l’inflexible’portier. · — » Chez monsieur.au

Il ne fait pas jour. Vousurepasserez ’oo ·à·¤nze heures. » ·

·Adële ne manque pas de revenir. Le coup

de cloche d’avertissement est donné. « Yvous ni.pou2vez monter. »· Elle monte, et après avoir subi les- délais et- les un pertinentes curiosités de ll£n.tiqhambre, elle obtient ·l’à udience q n’elle sollicite. =· =· · ·· · C

" Le commissaire la reçoit : il est nonchalamzmennassis dans un fauteuil, et les yeux attachés § 111113’2l)U£ldlCI’ll’I ;€ ’tlont un article le fait sourire.